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« Lettre d’amour sans le dire » d’Amanda Sthers

« Alice a 48 ans, c’est une femme empêchée, prisonnière d’elle-même, de ses peurs, de ses souvenir douloureux (origines modestes, native de Cambrai, séduite et abandonnée, fille-mère, chassée de chez elle, cabossée par des hommes qui l’ont toujours forcée ou ne l’ont jamais aimée). Ancienne professeur de français, elle vit dans ses rêves et dans les livres auprès de sa fille, richement mariée et qui l’a installée près d’elle, à Paris.
Tout change un beau jour lorsque, ayant fait halte dans un salon de thé, Alice est révélée à elle-même par un masseur japonais d’une délicatesse absolue qui la réconcilie avec son corps et lui fait entrevoir, soudain, la possibilité du bonheur.
Cet homme devient le centre de son existence  : elle apprend le japonais, lit les classiques nippons afin de se rapprocher de lui. Enfin, par l’imaginaire, Alice vit sa première véritable histoire d’amour. Pendant une année entière, elle revient se faire masser sans jamais lui signifier ses sentiments, persuadée par quelques signes, quelques gestes infimes qu’ils sont réciproques.
Le jour où elle maîtrise assez la langue pour lui dire enfin ce qu’elle ressent, l’homme a disparu…
D’où la lettre qu’elle lui adresse, qui lui parviendra peut-être, dans laquelle elle se raconte et avoue son amour. Tendre, sensuelle, cette lettre est le roman que nous avons entre les mains  : l’histoire d’un éveil. Ce qu’Alice n’a pas dit, elle l’écrit magnifiquement. Prête, enfin, à vivre sa vie. »

https://livre.fnac.com/a14086679/Amanda-Sthers-Lettre-d-amour-sans-le-dire

« Pour son 11e roman, Amanda Sthers s’essaie avec succès au roman épistolaire. Cette confession d’Alice, 48 ans, qui écrit une longue lettre à celui qui lui a prodigué un shiatsu salvateur est aussi une initiation tout en douceur au Japon. Un texte délicat, raffiné, voluptueux. » Marie-Anne Georges

Le shiatsu pour se reconstruire et reconstruire les animaux après un accident

Un très bel article sur l’histoire d’Eleonore, fracassée pares un accident de voiture, et Vassandra, sa jument fracassée après une chute dans un concours.

« En reconstruisant Vassandra, je me reconstruisais, moi »

Apres un accident de la route qui brise cette jeune femme de 21 ans, c’est la rencontre de cette jument blessée, et du shiatsu équin, qui vont leur permettre toutes les deux de se construire une nouvelle vie.

Lire l’intégralité : https://www.info-chalon.com/articles/saone-et-loire/2020/05/22/44312/eleonore-aubin-en-me-reconstruisant-j-ai-decouvert-le-shiatsu/

Les «5 justes» de Michel Odoul : le juste effort, le juste repos, le juste manger, le juste penser et le juste désir.

Un très bon article paru dans madame Figaro le 16 mai 2020.

Se rebooster après le confinement n’est pas forcément si simple.

Extrait choisi :

« «La blessure est grave, confirme Michel Odoul, praticien en shiatsu et auteur de Dis-moi comment aller chaque jour de mieux en mieux, aux Éditions Albin Michel. La crise laissera un gros impact, non seulement au niveau économique, mais dans les corps et dans l’inconscient individuel et collectif. Elle a exacerbé toutes les fragilités et les sensibilités, elle a mit l’accent sur ce qui n’allait plus dans nos vies, devenues hystériques et épuisantes. Il faudra du temps pour se reconstruire, et il faut tout faire pour ne pas retomber dans les vieux schémas.»

Pour notre expert, cela commence par se refabriquer une immunité psychique et émotionnelle, en respectant son besoin vital d’espace personnel. Décider enfin de prendre soin de soi quelques minutes par jour (et accorder cette liberté aux autres), voilà la clé de l’équilibre et de l’harmonie, ce qu’il appelle les «5 justes» : le juste effort, le juste repos, le juste manger, le juste penser et le juste désir. »

Et si on commençait par une bonne séance de shiatsu ?

Lire l’article en entier : https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/deconfinement-alimentation-forme-physique-mental-conseils-experts-pour-retrouver-de-la-vitalite-160520-180944

Je découvre le shiatsu !

Paru dans la collection le Bien être des petits, ce petit livre s’adresse aux enfants dès trois ans.

Le livre propose :
• une découverte des points d’auto-shiatsu, les « points magiques »
• des auto-massages
• des étirements, des exercices de respiration et des méditations
• des exercices de brain gym (mouvements permettant d’améliorer l’apprentissage)

Les recommandations sanitaires à partir du 11 mai pour les séances de shiatsu (SPS)

Informations à donner à la prise du rendez-vous :

• Risque de contamination en lien avec la prise en charge,
• Recueil du consentement.

Le client :

Pas de symptômes fébriles dans les jours précédents la séance,
• Lavage des mains à l’arrivée,
• Apporter une tenue spécifique pour recevoir la séance,
• Port d’un masque obligatoire (demander au receveur de venir avec le sien),
• Apporter son stylo,
• Pas d’accompagnant à l’intérieur, sauf si le receveur est mineur.

Gestes barrière pour le professionnel

– Saluer sans serrer la main,
• Éternuer dans son coude ou dans un mouchoir. Utiliser des mouchoirs à usage unique,
• Lavage des mains : En arrivant au cabinet, au moins toutes les heures, avant et après chaque séance,
• Protection du visage : utilisation d’un masque chirurgical, régulièrement changé, possibilité de port de visière qui protège efficacement des projections.
• Tenue de travail : Avoir une tenue spécifique pour travailler dans le cabinet, ou une « surblouse » stérile à usage unique.

Quelles sont les personnes susceptibles de développer une forme sévère du COVID-19 ?
• Personnes âgées de 70 ans et plus ;
• Antécédents cardiovasculaires (hypertension artérielle, accident vasculaire cérébral ou coronaropathie, chirurgie cardiaque, insuffisance cardiaque stade III ou IV) ;
• Diabète insulinodépendant non équilibré ou compliqué, cirrhose stade B ;
• Pathologie chronique respiratoire – Insuffisance rénale chronique dialysée ;
• Immunodépression ;
• Cancer sous traitement ;
• Obésité morbide : IMC > 40

Le shiatsu dans les hôpitaux pour soutenir les soignants pendant le confinement

Dès le le 10 avril, l’AP-HP a demandé à l’AIST (Association Internationale de Shiatsu Traditionnel) avec qui ils collaborent de longue date, de proposer des séances quotidiennes aux soignants des hôpitaux Necker et Cochin et à l’Hôtel-Dieu à Paris.

Pour protéger autant les praticiens que le personnel soignant, des consignes sanitaires ont été mises en place, l’AP-HP fournissant masques et gels hydro-alcooliques à chaque séance. Les praticiens amenant quant à eux draps pour recouvrir les tapis déjà sur place, tenuguis et tenues spécifiques pour donner le shiatsu sans oublier de les laver aussitôt rentrés chez eux.

Résultats au rendez vous ! les soignants à bout de souffle ont pu trouver un peu de répit, lâcher prise, alléger la pression …

Les témoignages se sont multipliés « J’ai senti que vous m’avez donné de l’énergie malgré mes réticences. » « Je ne m’attendais pas à ça : j’ai l’impression que cela a calmé mes angoisses. » « C’est un grand soulagement que l’on prenne soin de nous » Beaucoup de « merci du fond du cœur »« merci d’être là pour nous »« cela fait beaucoup de bien »« on se sent mieux » que ce soit de la part de cadres, d’infirmières, d’aides-soignants ou autres. Les encadrants de cette « Bulle » (espace bien-être) ont aussi témoigné : le Dr Hervé Lefèvre, Médecin Hospitalier – Pédiatre – Maison de Solenn, Coordinateur des équipes « AVEC » et de la Bulle de Cochin Port Royal : « Bonjour Madame, un grand merci à vous et à votre équipe pour permettre aux équipes soignantes de pratiquer du Shiatsu très très apprécié à la Bulle de Port Royal » et la Directrice des Ressources Humaines adjointe, AP-HP.Centre – Université de Paris Charlotte Cardin,  : « Merci pour tout ce que vous faites, vous embellissez le quotidien de nos professionnels en cette période difficile ! »

Pour en savoir plus : https://bit.ly/2A2hmrQ